jeudi 12 juillet 2007

Yin et yang

Sans lumière, pas d'ombre.
Sans bruit, pas de silence.
Mon dernier billet était, je trouve, un peu peau de vache sur mon mari.
L'ambiguité des sentiments est un sujet intéressant. Doit-on être toujours dans le positif?
Je le regarde souvent avec colère, pourtant nous rions beaucoup.
J'aimerai étaler mes sentiments pour les observer de près.

3 commentaires:

Pablo*NSN a dit…

Parce que tu traverses une époque un peu sombre et souvent tu exposes (ici, dans tes blogs) plus facilement les ombres que les lumières. Mais la colère n'est pas la haine, et en parler c'est peut-être une façon de la conjurer ; la colère est aussi une facette de l'amour.

Patience, chère Parisienne.

Effectivement, avec du vin un vol devient beaucoup plus agréable ; même chez Ryan Air il y en avait et c'était pas mauvais : pour 5 euros, j'ai pu déguster un verre de merlot du Languedoc qui a élevé mon esprit encore un peu plus au dessus les nuages...

antagonisme a dit…

J'ai hâte d'être dans l'avion!! (si)

Pablo*NSN a dit…

Tu es donc déjà partie... Ça s'est bien passé, je suppose ?! T'es en France en ce moment ? T'as déjà vu Persépolis ? ("todo son preguntas" !). Je l'ai vu dimanche et j'ai beaucoup apprécié. À un moment donné, la protagoniste du film est à Vienne, où elle se pose la question de ce que cela signifie que d'être intégrée... D'autre part, le film donne du Lycée Français de cette ville une image (assez amusante) qui se correspond un peu avec celle que j'ai des Lycées Français à l'étranger...